Afrique

MADAGASCAR

à partir de 4122 € / pilote

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1 circuits 11 J.

avril à OCTOBRE

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8 pilotes (solo ou duo)

Road Trip sur la mythique RN7

Madagascar
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11 jours
Royal Enfield
Classic 500

Prochains départs :

à partir de

3960 €

Traversée des grands parcs

Madagascar
|
13 jours
Royal Enfield
Classic 500

Prochains départs :

11 Avr. 2025
7 motos
2 Mai. 2025
10 motos

à partir de

4690 €

saga africa

nos circuits moto à madagascar

A mi-chemin entre l’Inde et l’Afrique, bienvenue à Madagascar ! 

Depuis 2016, nous créons, testons et accompagnons tous nos itinéraires moto sur cette île exceptionnelle, taillée pour l’aventure à moto.  Ici, pas de tourisme aseptisé, les parcs se succèdent et vous guident vers des merveilles parfaitement préservées : geysers, mangroves, massifs aux couleurs flamboyantes, mines de saphir et forêts d’eucalyptus.

A moto, sur la mythique Nationale 7, vous traversez des villages pour découvrir le quotidien des cultivateurs de riz, des éleveurs de zébus, des artisans, des commerçants et des écoliers. L’accueil est chaleureux, facilité par la langue française, parlé dans toute l’île. 

Le soir, ce sont de magnifiques lodges en pleine nature qui vous attendent pour recharger les batteries.

organiser un voyage à moto à Madagascar

Partir en voyage à moto à Madagascar offre une une expérience unique.  Avec ses routes sinueuses, ses paysages à couper le souffle et sa douceur de vivre, Madagascar est une destination rêvée pour les amateurs de moto. Nos équipes sont en place à Tananarive depuis 2016 pour vous guider sur les plus belles routes de l’île.

Madagascar est un terrain de jeu idéal pour les motards. Les routes, souvent peu fréquentées, serpentent à travers des forêts luxuriantes, longent des rizières en terrasses et traversent des villages pittoresques où l’accueil chaleureux des habitants est une constante. La variété des terrains, souvent très bien asphaltés, est accessible aux pilotes de tous niveaux.

Vous y découvrirez également une faune et une flore uniques au monde, ainsi que les 18 ethnies malgaches aux traditions préservées.

planifier son voyage

La meilleure période pour voyager à Madagascar à Moto

Madagascar est une destination de rêve pour les amateurs de moto. Pour profiter pleinement de votre road trip à travers l’île, il est essentiel de choisir la bonne période. Voici les meilleures saisons pour partir à Madagascar.

  • Mai à octobre : La saison sèche idéale
    Les températures sont agréables et les précipitations sont faibles, ce qui rend les routes plus sûres et praticables, surtout sur les pistes en terre qui peuvent devenir boueuses en saison des pluies. Les paysages de la région des Hautes Terres, du littoral est offrent des vues dégagées et des conditions optimales pour la moto.

  • Juillet à août : Pic de la saison sèche et haute saison touristique
    Les conditions sont parfaites pour la moto, avec des températures modérées et un climat sec. C’est aussi une période idéale pour observer les baleines à bosse au large des côtes est de Madagascar.

  • Novembre à avril : Saison des pluies
    Les averses sont fréquentes et parfois intenses, surtout dans les régions côtières. Les routes, particulièrement les pistes non asphaltées, peuvent devenir difficiles, voire impraticables.
 
carnet de voyage

Les chemins de traverse Malgaches

La Faune de Madagascar

inquième plus grande île du monde, Madagascar est reconnue mondialement comme un haut lieu de biodiversité. Ce territoire unique, aux écosystèmes variés, abrite plus de 5 % des espèces animales mondiales, dont 90 % sont endémiques.

Parmi les espèces emblématiques, les lémuriens occupent une place de choix. Considérés comme les ancêtres des singes, ces primates ne se trouvent qu’à Madagascar. Avec plus de 1000 espèces, ils peuvent être observés dans plusieurs parcs nationaux. Le célèbre Sifaka, par exemple, est connu pour son intelligence et sa familiarité avec l’homme.

Outre les lémuriens, Madagascar abrite de nombreux amphibiens, principalement des grenouilles et des crapauds. Avec 285 espèces répertoriées, dont la plupart sont endémiques, ces animaux jouent un rôle essentiel dans l’écosystème de l’île. Malheureusement, beaucoup sont en danger d’extinction.

Les reptiles malgaches, bien que nombreux, sont également remarquables. Avec 358 espèces endémiques, les reptiles de l’île incluent des caméléons, des serpents et des crocodiles. Les caméléons, capables de changer de couleur, fascinent les visiteurs, tandis que le boa de Madagascar, inoffensif, est très prisé.

Cette diversité, visible dans les forêts luxuriantes de Madagascar, fait de l’île un véritable paradis pour les amoureux de la nature.

 

la gastronomie malgache

À Madagascar, l’invitation à partager un repas, exprimée par « Manasa hihinana » ou « Mandroso hisakafo », est un geste d’hospitalité qu’il est mal vu de refuser. La gastronomie malgache, riche et variée, reflète cette culture d’accueil.

Traditionnellement, les repas malgaches sont copieux et satisfaisants, surtout lors des fêtes. Le riz, base de l’alimentation malgache, est toujours accompagné d’un plat principal ou « loka », qui varie selon les occasions.

La cuisine malgache est connue pour sa cuisson lente, permettant de révéler pleinement les saveurs, que ce soit pour la viande de bœuf, de porc ou de volaille. Les plats quotidiens, bien que simples, sont savoureux. Parmi eux, le « ravitoto sy hena-kisoa » – un plat emblématique à base de feuilles de manioc pilées et de viande de porc gras – est particulièrement apprécié.

Lors des grandes fêtes, la cuisine prend une dimension spectaculaire, avec des plats comme le « hanim-pitoloha » – signifiant « nourriture à 7 têtes » – qui incarne le respect et le plaisir partagé autour d’un festin. Servi autrefois aux rois et reines de Madagascar, ce menu royal inclut des mets tels que le « vorombe sy henakisoa » (dinde ou oie et porc), le « amalona sy henakisoa » (anguille et porc), ou encore le « varanga » (filet de zébu mijoté).

La gastronomie malgache s’inspire de multiples influences, notamment créoles, asiatiques, africaines et européennes, intégrant une variété d’épices et de produits locaux qui enrichissent les traditions culinaires de l’île. Les spécialités de la côte est, par exemple, mettent en avant des épices comme le clou de girofle, la cannelle et le lait de coco, offrant une multitude de grillades savoureuses.

 

Le Parc National d'Andasibe-Mantadia

Créé en 1989, le Parc National d’Andasibe-Mantadia, situé dans la région d’Alaotra Mangoro, à 140 km d’Antananarivo, s’étend sur 16 310 hectares. Il se compose de la réserve spéciale d’Analamazaotra et du parc Mantadia. Ce parc, composé à 80 % de forêts primaires, abrite une biodiversité exceptionnelle, y compris le plus grand lémurien de Madagascar, l’Indri Indri.

Ce parc est un véritable sanctuaire pour les amateurs de nature, offrant une riche diversité de faune et de flore. On y trouve 14 espèces de lémuriens, 51 espèces de reptiles, 84 espèces d’amphibiens, 72 espèces de mammifères, et 117 espèces d’oiseaux. Les Indri Indri, avec leurs chants envoûtants, sont l’attraction phare.

Les circuits proposés dans le parc permettent de découvrir cette richesse naturelle, en passant par des sites comme la piscine naturelle, le lac sacré et la cascade. Le meilleur moment pour visiter est en septembre, lors du festival Indri Indri, dédié à la conservation de cette espèce emblématique.

 

Le Parc National d'Isalo

Le Parc National d’Isalo, déclaré en 1999, est situé dans le sud de Madagascar, près de la commune de Ranohira. S’étendant sur 81 000 à 85 000 hectares, le parc est connu pour ses massifs de grès jurassique, ses canyons profonds et ses reliefs érodés.

Ce parc offre des paysages spectaculaires, où l’on peut observer des rivières, des piscines naturelles, des lémuriens et une flore unique, dont de nombreuses plantes médicinales. Les visiteurs peuvent explorer des sites emblématiques comme la « fenêtre d’Isalo », une sculpture naturelle offrant un cadre parfait pour admirer le coucher de soleil.

Le parc est également un refuge pour une faune diversifiée, abritant 77 espèces d’oiseaux, dont le Merle de Roche de Benson, endémique à la région, ainsi que de nombreux reptiles et lémuriens.

Pour les amateurs de sport et d’aventure, le parc propose plusieurs circuits, notamment le canyon des rats et le canyon des singes. Des activités comme la randonnée, la visite des grottes portugaises et la descente en VTT permettent de découvrir ce cadre naturel exceptionnel.

 

Le Musée de la Photographie d'Andohalo

Le Musée de la Photographie de Madagascar, situé à Antananarivo, se consacre à la préservation et à la valorisation du patrimoine photographique de l’île, en numérisant des photos prises entre 1860 et 1960. Fondé par le Dr. Helihanta Rajaonarison et Cédric Donck, le musée offre une précieuse collection de 14 000 clichés, illustrant l’histoire de Madagascar avant, pendant et après la colonisation.

Le musée propose trois espaces principaux : des salles de projection, des espaces d’exposition, et un café offrant des spécialités locales. Parmi les photographes malgaches incontournables, Pierrot Men se distingue par ses clichés en noir et blanc qui capturent l’humanité de ses sujets.

Ce musée permet de préserver la mémoire visuelle de Madagascar et de transmettre cette histoire aux générations futures.

 

Histoire du Royaume de Madagascar

Le Royaume de Madagascar, ou Royaume Merina, a existé de 1817 à 1897, date à laquelle il fut aboli par le général Gallieni suite au protectorat français. Ce royaume, situé au centre de Madagascar, a vu ses souverains se proclamer « Mpanjakan’i Madagascar », ou « Souverains de Madagascar ».

Le royaume est apparu sous le règne de Ralambo au XVIe siècle, mais c’est au début du XIXe siècle, sous le règne d’Andrianampoinimerina, que le royaume s’est véritablement consolidé. Ce roi conquérant, au slogan « Ny ranomasina no valaparihiko » (la mer est ma limite), a mené des campagnes pour unifier l’île sous son autorité.

Sous son règne, le royaume s’est centralisé et organisé autour du « Fokonolona », un système socio-politique traditionnel. Radama Ier, son successeur, a ouvert le royaume à l’Occident, accueillant les missionnaires protestants qui ont introduit l’éducation et l’artisanat moderne.

Après Radama Ier, le royaume a connu des périodes de résistance contre l’influence étrangère sous Ranavalona Ière, puis une phase d’instabilité avant son annexion par la France en 1897.

Les 18 Ethnies de Madagascar

À Madagascar, le terme « FOKO » en malgache désigne un groupe humain partageant une structure familiale, économique et sociale homogène, fondée sur la langue, la culture et une conscience commune. Le peuple malgache, d’origine mixte asiatique et africaine, se compose de plusieurs ethnies, chacune ayant ses particularités. Madagascar abrite 18 ethnies distinctes, connues pour leur endogamie et leur profond attachement à leurs traditions.

Les Antakarana se trouvent dans le nord de l’île. Conservateurs, ils sont dévoués à la pérennité de leur monarchie.

Les Antandroy, situés à l’extrême sud, sont réputés pour leur bravoure et leur respect des coutumes ancestrales, consultent toujours leurs devins « Ombiasy » avant tout événement.

Les Antaifasy, pêcheurs et chasseurs du sud-est, sont célèbres pour leurs rites funéraires, où les défunts sont enterrés avec leurs biens dans des tombes décorées.

Les Antambahoaka, leur culture et leurs traditions demeure empreintes d’Islam et plusieurs rituels d’origine arabe sont perpétués. Leur costume traditionnel ressemble à un vêtement jadis porté par les commerçants arabes;

Les Antesaka, également du sud-est, sont connus pour leurs nombreux tabous et la pratique du double ensevelissement lors des funérailles.

Les Bara, semi-nomades du sud, descendent d’un ancêtre africain légendaire nommé Rabiby.

Les Betsileo, occupant le sud des terres centrales, respectent les ancêtres et célèbrent le « Famadihana », un retournement des morts que chaque famille doit effectuer.

Les Betsimisaraka de l’est sont des agriculteurs et pêcheurs sédentaires, pratiquant également le « Famadihana » pour honorer leurs ancêtres.

Les Bezanozano, vivant le long du Mangoro, sont issus d’un métissage entre « Vazimba » et « Berahoraho ». Chez eux, un enfant est intégré au clan après sa première coupe de cheveux et une circoncision.

 

Les Mahafaly du sud-est sont gouvernés par des sages « Zakan-draza » et suivent les rituels du « Famadihana » et du « Savatse ».

Les Merina, résidant dans les hautes terres centrales, sont reconnus pour leur pratique du « Famadihana » et l’importance du changement de « Lamba » lors des funérailles.

Les Sakalava, sur la côte ouest, pratiquent le « Tromba », un rituel de transe, ainsi que le « Fitampoha », un bain des reliques royales.

Les Sihanaka, situés autour du lac Alaotra, sont d’excellents riziculteurs, avec des rituels tels que le « Volam-bita » et les mariages.

Les Tanala, peuple forestier du sud-est, célèbrent la tradition du « Mamoka Zaza », marquant la première sortie d’un enfant.

Les Tsimihèty, dans le nord-ouest, descendent des pirates européens et des « Vazimba ».

Les Vezo, pêcheurs de la côte ouest, ornent leurs tombes de statues érotiques.

Les Antanosy, sous-groupe des Antandroy du sud-est, se distinguent par l’art funéraire et la pratique du culte de possession, le « Bilo ».

Malgré leurs dialectes et modes de vie distincts, ces ethnies partagent une tradition commune : le respect des ancêtres.

 

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