PAROLES DE GUIDES
Mono 500 vous ouvre les coulisses de cette belle aventure humaine et vous présente son équipe de guides, aux quatre coins du monde.
Nous vous présentons aujourd’hui le représentant de Mono 500 en Équateur, notre ami et guide moto, Yves du Parc.
Portrait
Motard de la première heure, Yves partage sa passion pour la moto avec une expertise inégalée.
Il a fait des études en commerce international dans une grande école. Diplômé et prêt à rentrer sur le marché du travail, ce français de 35 ans abandonne tout pour se consacrer à sa passion : la moto.
En 2010, en Chine, il lancera des minitrips en side-car aux alentours de Pékin pour une grande entreprise de tourisme. Avec le même concept que Mono 500, des side-cars rétro, ancien (de l’armée chinoise), qui ont du look ! Il ira jusqu’à faire un Pékin-Paris en side-car avec son épouse Cira.
Il parcourt le monde et habite aux États-Unis, en Chine, en Argentine…
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La rencontre avec Mono 500
Quelques années plus tard, il écoute son coeur et décide de poser ses valises en Équateur, pays d’origine de Cira. Les idées commencent à fuser.
Il rencontre Mono 500 par un ancien client: “Il a parlé de moi à Gauthier, en lui disant qu’on avait le même profil, parcours professionnel : mes tours en side-cars rétro en Chine, ses tours en Royal Enfield en Argentine… Il lui a dit qu’il fallait qu’on se rencontre, qu’on avait beaucoup de choses à faire ensemble”.
Gauthier décide de lui confier le développement de la destination Équateur pour Mono 500. Yves connaît l’Equateur comme sa poche, et décide d’en partager le meilleur avec les clients Mono 500.
Le métier de guide
Pour Yves, le métier de guide n’a rien de routinier, toujours sur la route, il a ce même sentiment de liberté que ses collègues.
“Ce n’est jamais le même tour à chaque fois, je m’adapte à mes clients, on sort des sentiers battus, le parcours n’est pas figé, il peut bouger, il évolue, on l’améliore à chaque sortie. C’est un métier très prenant, puisqu’il faut être 24h sur 24h attentif, vérifier la mécanique, faire en sorte que tout se passe bien etc..
Il faut également être un tampon culturel entre eux et le pays. Être guide, ce n’est pas uniquement faire découvrir le pays à travers les routes et les paysages, c’est aussi la culture. C’est très important pour moi qu’ils comprennent les spécificités du pays, les différences, et qu’ils repartent avec un enrichissement personnel.”
Au cours d’un voyage, la proximité provoque la complicité et des amitiés naissent.
“Cette proximité nous permet de créer des liens très forts, nos groupes deviennent pratiquement toujours des amis. Les tours ne peuvent que bien se passer puisque les personnes qui choisissent Mono 500 ont trois choses en commun : la moto, une passion commune, ils ont fait le choix d’un pays en développement, ça montre une ouverture d’esprit et le choix de la moto : à l’ancienne ».
Mais ce grand voyageur nous confie que lorsqu’il finit ses tours, il aime bien rester chez lui, à la maison, au calme avec ses chiens et ses motos. Avec ce métier, il a trouvé son rythme de vie.
La Royal Enfield apporte un énorme plus à tout ça: “J’ai toujours aimé l’imagerie des vieilles choses, du vintage, rétro, chez moi j’ai 12 motos et beaucoup de voitures de collection (vieux Kombi Volkswagen, 4×4…). Pour moi, la Royal Enfield apporte ce plus, c’est une moto qui a de la gueule, avec un fort capital sympathie, on se fait souvent arrêter sur la route pour prendre des photos. C’est une moto facile, polyvalente, qui a tout un imaginaire derrière elle.”
Beaucoup de voyageurs nous disent que Mono500, c’est comme une grande famille
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L’Équateur
Ce qu’il aime le plus dans ses parcours en Équateur, ce sont la variété des paysages et des cultures.
“En Équateur tu passes par plein de paysages différents en 24 heures, il n’y a pas deux journées qui se ressemblent : tu pars des Andes, avec des volcans, des lamas, et tu descends dans l’Amazonie. Puis l’écosystème change, le climat également, il devient plus humide, les odeurs sont différentes, et tu te balades sur le volcan de Quilotoa où tu peux voir une lagune turquoise incroyable. Et dans la même journée, tu longes la côte pacifique avec des paysages sauvages et variés.”
Il se sent très lié à son agence: “Dans l’équipe Mono 500, aucun n’a le même parcours mais on est tous reliés par ces passions communes : la moto et les voyages et c’est ça qui est beau ! Je me souviens d’un voyage qu’on avait fait tous ensemble, on avait cassé une moto. On a dû refaire une moto avec deux motos et pour ça on avait fait deux équipes et celui qui allait le plus vite avait gagné. Ça nous a pris même pas une heure et une bouteille de vin ! Alors que normalement réparer une moto comme ça, ça prend deux jours. C’est ça Mono 500 !”.
Aujourd’hui Yves vit sur la plage de Santa Marianita en Equateur, d’où il gère son parc moto et coordonne les trips pour Mono 500.
Pour rejoindre Yves en Équateur, rendez-vous sur notre site web!
Par : L’équipe Mono 500
Crédits photos : Mono 500